« Un fil sépare l’espace sacré du monde profane »
« Un fil sépare l’espace sacré du monde profane. Lorsqu’un pilier est placé dans un paysage, il commence déjà à l’articuler. De même, un mur autonome érigé au sein de la nature s’oppose au paysage. Le sectionne, le détache, le transforme violement, mais entre aussi en dialogue avec lui ; et les ombres de la végétation projetées sur ce mur portent déjà en germe une intention d’architecture […]. »

T. Ando, Pensées sur l’architecture et le paysage.
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Vittorio Fragasso